Que c’est beau d’être conteur : les enfants dévorent les histoires bouche ouverte et yeux tout ronds, les adultes écoutent, charmés et captivés. Samedi soir, à la médiathèque, à l’occasion du festival Grande marée, ce fut encore la parfaite illustration de cet engouement. Plus de 70 spectateurs, dont beaucoup d’enfants, pour écouter Victor Cova Corréa venu de son Venezuela natal narrer des histoires à la fois réalistes et irréalistes, naturelles et surnaturelles avec cette diction parfaite et cette pointe d’accent si caractéristique de l’Amérique du Sud.
Le Télégramme - Jean Morvan - 29 novembre 2012
Le Télégramme - Jean Morvan - 29 novembre 2012